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L i ch t d u r c h l ä ss i g keit
24 juin 2006

butter knife in your side.

au lieu de philosopher inutilement sur les pétales de riz et de blé que je mange chaque matin dans du p'tit lait, en pensant qu'il faudrait que je change sibum de bocal, ou qu'il faudrait que je sache jouer Desperado d'Alice Cooper histoire d'élargir mon répertoire, bref, des choses fugaces et parfaitement modiques, je décide de me poser les questions suivantes ("pourquoi les médias terriens traduisent-ils toujours "this shit" par "cette merde", alors que c'est tout simplement "ce truc"?") ou plutôt, la question suivante: qu'est-ce qui a bien pu me pousser à agir de telle façon avec une personne qui "méritait" presque qu'on agisse de telle façon avec lui? je vous vois arriver ceux qui savent déjà de quoi je parle, je suis affreusement désolée mais ça vous est jamais arrivé. tant mieux pour vous. y'a des trous de quelques secondes dans ma mémoire. entre le moment où j'entend le bruit de ma main s'écraser sur sa joue et le moment où je me rend compte qu'il y a un gars qui me secoue comme un pantin par la mêchoire en me criant dessus par ce que je lui ait fait du mal. entre les deux je ne sais pas. parce que j'avais peut-être fermé les yeux, je l'avait pas vu arriver. j'ai eu très peur quand même. et lui il a juste pas compris. POURQUOI ais-je donc foutu une baffe (la plus violente que j'ai jamais foutu de mavie) SANS raisons apparentes à un gars certe méprisable, mais qui passait SIMPLEMENT par là? comme c'est complètement insencé je me rejette sur les facteurs suivants: the magic mushrooms & les gens qu'il faut buter. en fait c'était juste un gars qu'il fallait buter.
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Commentaires
L
euh non pas trop de rapport. disons que j'ai foutu une bouffe à un gars parce que j'avais très envie d'en entendre le bruit. mais je souligne le fait que j'étais dans un état pa-ra-nor-mal.<br /> et sans son pote qui était là ben à l'heure qu'il est je n'aurais plus de mâchoire (ouais parce que qu'il faisait bien 1 tête de plus que moi, ce qui n'est d'ailleurs pas difficile)
Y
ui pake "kill,kill,kill;murder,murder,murder".uep sinon moi des fois j'ai envie d'arrêter mon activité journalière,et mes incertitudes, de dérouiller un inconnu et à mon tour me faire dérouiller.puis après en avoir pris plein la gueule et lui de même,après avoir déverser notre violence trop longtemps renfermée,on se casse quoi.rien d'autre à foutre,plus d'énergie..vidé.mais ce que je dis là doit pas trop avoir de rapport avec ce qui s'est passé pour toi.à part le temps suspendu.hors du temps.le trou noir."kill,kill,kill;murder,murder,murder."
L
je suis assez inculte en ce qi-ui concerne alice cooper. les succès de sa jeunesse tout ça....enfin merci pour le conseil t'sais.
J
morfondue jusqu'au moignon, moi j'ai trouvé ça mêêêrveilleux.<br /> d'un point de vue introspectif.<br /> <br /> t'as eu raison de le buter, quand je l'ai vu, je l'ai trouvé très butable, maintenant écoute sex death and money d'alice cooper it was mental cruelty i was so shocked just a little more flesh just a little more blood little closer to the edge a little deeper in the mud i'll never be the same
L
ben tu m'étonnes gary
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